Le cours des jours
Le gisement écrasant de l’isolant mutuel
Ils sont assidus en détresse, les démunis.
L’ouvrière, l’infirme et la majorette toussent toutes selon leur gabarit.
Si vous rampez dans les maritimes, livrez
votre vachardise.
S’il y a camelote en la demeure,
agenouillez les larrons en foire.
Si la simple arabesque déchire le boubou,
doublez la couture.
Sécurisez un périmètre
parmi les zombis de tristesse
et si l’accent passe de l’aigu au grave,
allez vous faire cuire une brique.
Si vous vacillez au fil des escales,
soulagez l’horizontal.
Si les saisons ne peuvent commencer à finir ou finir par commencer,
minouchez la suite.
Si vous attendez l’épluchette dès janvier,
composez le 1-234-5678.
Le cours des jours,
ce ragoût incompréhensible,
arrose le piano sans mode d’emploi.
La symétrie croissante jamais ne recule
émettant vertus par retour de particules.
Ainsi, pour la dame au chemisier funky,
le bénévolat n’aura pas suffit.
Une invocatrice se mêla de la partie.
Des gracieusetés repoussent depuis.
C’est en pesant nos courants de courtoisie
qu’on se solidifie dans l’empathie d’autrui.
Par sa seule présence, la réponse dit oui.
Merci pour ton témoignage. Non censuré. / Thank you for your shared experience. Uncensored.
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